Catégories : Sodom Pantyhose collants bas petite culotte corset
il y a 3 ans
Il y a des moments dans la vie où, en quelques secondes, vous voyez tout s’écrouler autour de vous, alors que rien ne vous y préparait. Généralement parce que vous étiez trop sûr de vous pour voir ce qui était pourtant évident : que vous alliez vous casser la gueule, tant les signes de votre chute étaient là, bien en vue.
C’est ce qui m’arrive quand ma belle sœur pénètre dans la salle de bains. Je me maudis de ne pas avoir poussé la targette qui m’aurait laissé le temps de remettre les choses en ordre.
Maintenant, il est trop tard. On est face à face. Elle me regarde avec une stupéfaction qui bientôt se teinte d’amusement. Elle a un petit sourire qui dit sa joie de m’avoir pris en flagrant délit. Il faut dire qu’il y a peu de doutes à avoir sur mes intentions, et que nier ne me servira pas à grand-chose.
Pour tout dire, j’ai dans la main droite une petite culotte rose, et ma main gauche est accrochée à ma queue, en pleine érection.
Je me suis glissé dans la salle de bains il y a dix minutes. La salle de bains du premier. Je ne pensais pas risquer grand-chose. Mon frère et sa femme nous ont invités avec des amis communs, on est une vingtaine pour passer de bons moments. Tout le monde est en bas, occupé à manger et discuter.
Un bon moment pour moi c’est monter dans la salle de bains de l’étage où je sais que ma belle-sœur met, dans un grand panier, ses vêtements pour la machine.
Dont ses petites culottes.
Quand j’ai pénétré dans la pièce, mon regard a été attiré par la tache de couleur sur la pile, dans le panier, et j’ai immédiatement eu le sentiment d’avoir décroché le jackpot. Je me suis approché. Sur un jean, bien en évidence, reposait un slip féminin.
Je l’ai attrapé et soigneusement examiné. Ravi de ma chance. D’évidence, ça ne faisait pas très longtemps que la culotte avait quitté son ventre. J’aurais même risqué l’hypothèse que ça avait été juste avant qu’on arrive, une heure et demie plus tôt.
L’odeur forte que je perçois n’est pas une odeur d’urine. Elle n’a pas eu un accident malencontreux. Elle s’est caressée et le résultat est là sous mes yeux, une odeur forte de sécrétions vaginales, et le fond ainsi que la face avant de la culotte sombres du liquide qui est sorti d’elle.
J’examine la culotte sous tous ses angles, je la respire. Ça fait des années que je n’ai pas fait une prise pareille.
J’ai cette passion pour les sous-vêtements féminins depuis très longtemps. Ma théorie, à vrai dire, c’est que tous les hommes aiment les sous-vêtements féminins, et ce pour une raison simple : ils évoquent irrésistiblement le corps de la femme qui les porte, suscitant rêveries et fantasmes. Une histoire de creux et de plein, de vide et de rempli. Mais ma passion à moi a sans aucun doute pris une autre dimension à l’a d o l e s c e n c e, quand j’allais farfouiller dans le panier à linge pour récupérer les culottes et les soutiens-gorge de mes ravissantes grandes sœurs et que je passais mes soirées avec.
Il y a des étapes dans la vie, et ensuite on passe à autre chose. Ça n’a jamais été le cas pour moi, et parallèlement à des relations plus classique, j’ai continué d’avoir ce goût pour les pièces de lingerie. J’ai toujours eu cette certitude que tripoter et examiner sous toutes ses coutures un collant, un string, un tanga, un shorty, était une manière de se rapprocher des mystères de la femme.
J’ai passé dix minutes magnifiques aujourd’hui avec le slip de ma belle-sœur. Intrigué quand même qu’elle puisse se caresser, par rapport à ce qu’a pu me dire mon frère. Il me l’a toujours présentée comme une fille totalement asexuée, qui n’a jamais vraiment envie de faire l’amour, et ne se donne à lui que quand il insiste vraiment. Qu’elle puisse caresser son sexe est quelque chose que j’ai du mal à imaginer.
Pourtant, la lueur qu’elle a dans son regard contredit cette théorie. Tout comme cette phrase qu’elle prononce, quand elle me dit :
— Tu sais, la main d’une fille c’est mieux que sa propre main. Tu veux que je le fasse pour toi ?
Il était dit que ce soir-là, j’irai de surprise en surprise ! Elle que j’aurais imaginée s’enfuyant en hurlant : « Mon beau-frère est un sale pervers ! » J’ai encore un doute, mais elle s’approche de moi. Alors qu’elle n’y est pas obligée, elle vient se coller contre moi, me faisant sentir ses formes pleines, ses seins et son ventre. La chaleur de son corps traverse nos vêtements et vient m’envahir.
Cela fait quatre ans que je la connais et j’ai toujours été en admiration devant elle. C’est le genre de fille qui me plaît tout à fait, et qui, je crois, plaît à pas mal d’hommes. Elle est dans le style des filles d’aujourd’hui, celles dont on dit que les produits chimiques présents dans le lait ont eu un impact sur leur croissance, les faisant très grandes et au corps développé, réglées beaucoup plus tôt, et déjà formées à l’étape de la pré-puberté. Je ne sais pas si ça a été le cas pour elle, mais à 28 ans, elle est indéniablement une belle plante, un mètre quatre vingt cinq sans talons, avec des formes pleines, vraiment bien marquées. Elle est tout en sein, hanches, fesses. Difficile de l’ignorer d’ailleurs, comme elle porte toujours des vêtements serrés. Comme ce soir. Un simple pantalon noir très moulant, et un chandail rouge. Ça lui suffit pour être au centre de tous les regards.
Elle vient poser ses doigts sur ma queue. Ça me fait presque mal de la sentir autour de moi. Elle marque une légère pause, avant de commencer à me caresser, tout doucement d’abord. Je me dis que j’ai vraiment de la chance.
Ce n’est pas la première fois qu’elle masturbe quelqu’un, ça se voit, en totale contradiction avec ce que m’a dit mon frère. Elle sait comment s’y prendre. D’abord lente, puis rapide, elle s’arrête chaque fois qu’elle me sent au bord de l’orgasme.
Assez ironiquement, je laisse tomber la petite culotte. Elle me servira plus tard quand je serai seul. Elle n’oppose aucun refus quand je pose la main sur elle, et que je la caresse à travers ses vêtements, d’une manière maladroite, mais qui semble la satisfaire. Elle se pâme et gémit. Je viens sur ses seins, ses hanches… Ce serait sans doute mieux sur sa peau nue, mais ça semble quand même la satisfaire.
Elle me lâche un instant, défait son pantalon. Dessous elle a un simple slip blanc, enveloppant. Elle le descend à la suite du pantalon, dévoilant un sexe imberbe et me dit :
— Tu sais caresser une femme ? Je suppose que oui…
Elle attr a p e ma main, au cas où j’aurais un moment d’hésitation, et elle vient en poser la tranche contre ses lèvres. Ça me fait une drôle de sensation. Je reste un instant immobile et je sens ses sécrétions couler contre ma chair, et en même temps ses lèvres s’ouvrir comme les pétales d’une rose au point du jour. Ça fait longtemps que je n’ai plus caressé une femme ainsi, mais c’est comme le vélo, on n’oublie pas, et j’amène mes doigts sur ses lèvres et son clitoris pour la caresser. Je ne dois pas être si mauvais que ça, même si ma technique pourrait sans doute être meilleure, car je la sens s’ouvrir, ses lèvres se dilater, son clitoris sortir de son capuchon, et du liquide sourdre d’elle. Mais je ne suis pas en meilleur état, avec ma queue dilatée, et mon liquide pré-séminal qui coulent de mon gland le long de ma tige, venant poisser ma tige et sa main.
Elle a un hoquet, puis me souffle :
— Il ne faut pas crier en jouissant. Personne ne doit nous entendre. Ça doit rester entre nous.
Au bout de mes doigts, je sens son corps se tendre et l’orgasme monter en elle. Elle me jette, haletante :
— Si seulement ton frère pouvait me faire ne serait-ce que la moitié de ce que tu me fais !
Et elle explose, son corps se tend comme un arc. Elle ouvre la bouche, mais retient son cri. Dans ce qui est un simple mouvement proche du réflexe, elle continue de me branler. J’ai souvent remarqué que la jouissance était liée à un détail qui la précipitait, ce qui en l’occurrence me pousse au-delà du point de non-retour, c’est le fait qu’elle crache du liquide dans ma main, presque comme un homme qui éjacule…J’explose, ma semence partant dans les airs, alors que je me retiens pour ne pas crier.
On reste là figés l’un comme l’autre, enveloppés dans cette jouissance qui a été très forte pour moi, sans doute pour elle aussi, nous souriant, dans une complicité que j’apprécie. Je me doute qu’elle pourrait dire : « Ce n’est pas ton frère qui m’aurait donné la même chose. »
Deux versions différentes du même événement. Lui me disant qu’elle n’avait jamais envie. Elle laissant clairement entendre ses piètres qualités d’amant. Où est la vérité ? Ce qui vient de se passer tend à me laisser penser que c’est plutôt elle qui dit vrai.
— Je te propose un accord. Je te fournis en petites culottes, et toi en échange tu me donnes ce que je souhaite.
— C’est-à-dire ?
— Tu me donnes du plaisir en prenant le tien.
Il y a de rares moments dans la vie, comme cela, où a le sentiment d’avoir décroché le jackpot. Elle ne me laisse pas le temps de rajouter quelque chose et me dit :
— Tu vas me donner ton numéro de portable. Tu travailles l’après-midi ?
— Je finis à trois heures.
Elle a un sourire satisfait.
— Alors je t’appelle.
On se sépare après qu’elle a noté mon numéro sur son portable.
Je ramène la petite culotte chez moi. J’ai encore la queue raide et elle me fait la soirée. Puis, le lendemain, la vie reprend son cours, et je ne repense plus tôt à elle. D’ailleurs je n’ai pas de coup de fil le lendemain, ni le surlendemain. Ça se produit deux semaines et demi plus tard, un jeudi. Un coup de fil, l’après-midi, 15 heures 30.
— Tu es libre ?
Je reconnais sa voix.
— Mmmm, bien sûr.
Je ne pensais pas qu’elle rappellerait jamais.
— Il n’y a personne à la maison, et mon mari ne rentre pas ce soir. Passe vite.
J’arrive la queue à moitié raide, et ça ne s’améliore pas quand je la vois, hyper attirante dans un pantalon en vinyle ultra moulant qui colle à ses formes hyper féminines, perchée sur des bottes à talon aiguille, avec un bustier noir largement décolleté, maquillée, coiffée, parfumée. Elle recule, me laisse entrer. Elle désigne un sac posé sur un guéridon.
— Tu vas voir que j’ai pensé à toi… Je t’ai préparé quelques surprises… Regarde…
Elle en sort une culotte rose qu’elle me tend.
— Je l’ai portée lundi mardi et mercredi. Moi qui change parfois de culotte plusieurs fois par jour. Je l’ai fait pour toi. Tu ne seras pas déçu. Elle sent très fort. Ça te fera quelques jours… Celle là, elle est en dentelle, noire, et j’ai fait pipi à travers, elle pue bien l’urine… La troisième, tu vas l’avoir dans quelques minutes, elle sera toute fraîche…Regarde bien…Et après tu feras ce dont j’ai envie…
Je ne m’attendais pas à ce qui se passe. Elle défait le bouton qui ferme son pantalon de vinyle et descend la fermeture éclair. J’aperçois le blanc d’un slip. Il n’y a pas trop d’espace, mais suffisamment pour qu’elle puisse glisser sa main le long de son pubis, et commencer à se toucher. Le résultat est quasiment immédiat, et je doute qu’elle joue la comédie, son regard se révulse, son corps se cambre, elle ouvre la bouche et elle gémit :
— Aujourd’hui on peut tout se permettre, la maison est vide.
Elle se touche ainsi un moment, puis elle remonte sa main. Je remarque qu’elle est luisante de sécrétions. Elle descend le pantalon jusqu’à ses genoux, dévoilant la grande culotte en coton qu’elle porte. Elle remet sa main sous le tissu, et se caresse. C’est plus excitant que si je voyais tout. La main bouge comme s’il y avait un animal dessous.
Elle recule dans la salle à manger, je la suis. Elle se positionne devant un divan, et se laisse tomber en arrière, pose ses pieds à plat, écartés, pour me présenter son ventre couvert du tissu de sa culotte. Je remarque que celle-ci est çà et là piquetée d’humidité, et qu’ailleurs de grandes taches la rendent translucide. Elle se fouille sous la culotte, puis vient dessus, avant de repartir dessous. Elle finit par enlever le slip, et me le balance. Il est trempé par ses sécrétions, transparent sur une grande partie, et l’odeur est très forte. Je m’en enivre avant de le balancer au sol. Je le garde pour plus tard. Elle me sourit en se fichant deux doigts dans le sexe et en l’écartant, me montrant un intérieur rose et me disant :
— C’est maintenant que tu dois payer ta dette… Je veux que tu me fouilles, sans jamais t’arrêter. Sentir ta queue aller et venir en moi, s’enfoncer de plus en plus profond, frotter contre mes muqueuses. C’est de ça dont j’ai besoin, ce que ton connard de frère ne me donne pas.
Prudent, j’ai pris une boite de préservatifs avec moi. Elle me voit la sortir, me dit :
— Donne.
Elle en attr a p e un dans la boite, défait l’emballage.
— Approche-toi.
Je ne comprends pas tout de suite quand je la vois poser la rondelle de plastique contre ses dents. Elle se penche sur moi, et, avec une habileté que je n’aurais pas soupçonnée, elle fait glisser le plastique le long de ma queue, jusqu’à l’immobiliser à la racine de mon sexe. Elle recule, contemple son œuvre avec satisfaction, puis entreprend de donner de petits coups de langue sur le plastique, s’arrêtant quand je suis au bord de la jouissance. Elle bascule finalement à quatre pattes sur le divan, s’offrant, me jetant un regard qui est plus qu’une invitation : un ordre.
J’ai trop envie, de toute façon, pour ne pas céder. Rien au monde ne pourrait m’arrêter. Je m’approche d’elle, et poussé par mon inspiration, je viens frotter mon gland encapoté contre ses lèvres. Elle se lâche totalement, comme elle ne le fait sans doute jamais avec mon frère, poussant des gémissements qui me tordent le ventre et m’excitent encore plus. Je rentre en elle avec une extrême lenteur, pour la rendre folle, même si au final je ne suis pas dans un meilleur état qu’elle, quand je sens sa muqueuse entourer ma queue, bien chaude et bien coulante. Je repense à une discussion que j’ai eu il y a longtemps de cela avec une de mes amantes… « Vous les hommes, vous pensez que vous nous prenez, mais si tu mets ta main dans un gant, est-ce que c’est la main qui prend le gant, ou le gant qui prend la main ? » Je n’avais plus repensé à cette phrase depuis…
J’ai le sentiment curieux que c’est elle qui me prend, qui enveloppe ma queue. Je rentre jusqu’au dernier centimètre, jusqu’à ce que la chair de mon pubis soit contre ses lèvres. Je reste comme cela un moment, m’enivrant de la sentir autour de moi, comme peut-être elle apprécie que je sois fiché en elle. Puis je me mets à bouger, les mains accrochées à ses hanches. Elle gémit, éructe, bave…Mais je ne vaux sans doute pas mieux. Je perds totalement le contrôle. J’alterne des mouvements rapides, d’autres plus lents. Ce qui me donne autant de plaisir, c’est autant d’être en elle que de réaliser ce désir que j’ai depuis si longtemps d’elle, et que je n’ai jamais assouvi encore.
On ne connaît jamais totalement les gens. Je suis très surpris quand elle me dit :
— Mets-moi là entre les fesses. C’est comme ça que je préfère. Mais lui ne veut jamais. Il me dit que c’est sale… Déjà qu’il ne met jamais sa bite dans ma chatte… C’est sûr qu’il ne risque pas de la mettre ailleurs…
Je suis un peu décontenancé… Je ne pense pas que ce soit sale, mais j’ai peur de lui faire mal… Toutefois l’envie et l’excitation sont les plus fortes, et je sors ma queue de son vagin pour venir l’appuyer sur les replis de son anus. Est-ce parce que le plastique du préservatif dégouline de ses sécrétions, je commence à rentrer en elle et il n’y a aucun obstacle. À vrai dire, je suspecte qu’elle fasse rentrer régulièrement quelque chose par cet orifice, et que sa muqueuse se soit assouplie. Des queues d’hommes, des godes ? Je n’en sais rien.
J’avance dans son canal anal. Elle a une espèce de long frisson qui dit le plaisir qu’elle prend. C’est beaucoup plus serré que dans sa chatte, c’est ça qui est excitant. Je vais et viens en elle, lentement. Je vois se sexe se dilater encore, et cracher des sécrétions qui deviennent plus épaisses, plus gluantes. Je remarque aussi qu’elle se masturbe, sa main bougeant sur ses lèvres et sur son clitoris.
Il arrive un moment où elle et moi nous sommes au bout. Je jouis, remplissant le préservatif de semence avant qu’elle n’explose elle aussi, s’exprimant dans un hurlement qui traverse le silence de la maison.
Je me rends à la salle de bains. Quand je reviens, je la trouve endormie sur le divan, couchée en chien de fusil, scène attendrissante s’il en est. Je ramasse la troisième culotte, la fourre dans le sac, puis je m’en vais, la laissant dormir. Finalement mon fétichisme m’aura mené beaucoup plus loin que je ne l’aurais pensé.
Je pars apaisé. Je sais que d’ici un peu, j’aurai de nouveau un appel de ma belle-sœur.
Frederic Gabriel
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